DOMINIQUE BREUILLON :
« Destroy Be, quel est votre sentiment sur le talent ? »
DESTROY BE : « Le ou les talents permettent de ne pas faciliter la réussite de la médiocrité »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Vous êtes un artiste productif et actif, comment l’expliquez-vous ? »
DESTROY BE : « Cela me permet de faire l’éloge de la paresse »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Quel recul avez-vous sur votre parcours ? »
DESTROY BE : « C’est un recul qui me permet de mesurer ma part fragmentée et fugace de mon existence »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Comment jugez-vous votre identité artistique ? »
DESTROY BE : « Je ne la juge pas, la société la juge pour vous, mais je la revendique. »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Qui ou quoi suffit à votre bonheur ? »
DESTROY BE : « Le monde de la femme »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Qu’est-ce-que vous aimez ? »
DESTROY BE : « La femme que représente Shoshana »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Avez-vous le sentiment d’avoir beaucoup à faire ? »
DESTROY BE : « Tous les matins, je pars avec ce qu’il me reste, et il y a encore beaucoup à faire. »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Quel regard portez-vous sur vos contemporains ? »
DESTROY BE : « La réflexion que mes contemporains ont sur la critique de leur regard »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Ce qui vous caractérise en 10 mots ? »
DESTROY BE, en 10 mots : « Ce qui me caractérise, à vous tous de le découvrir »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Qu’attendez-vous de la vie ? »
DESTROY BE : « Comme Samuel Beckett, j’attends : « En attendant Godot » »
DOMINIQUE BREUILLON :
« Destroy Be, dernière question : avez-vous une conclusion ? »
DESTROY BE : « Avez-vous remarqué que nos noms et prénoms ont les mêmes initiales ? »